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"La citation n'était pas tout à fait fidèle, mais quand les gens sont incapables de s'exprimer avec des mots qui feraient de bons gros titres, les journalistes n'ont d'autre choix que d'écrire ce que l'interviewé a voulu dire au lieu de ce qu'il a dit. C'est ce qu'on appelle le journalisme créatif."
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De temps compté
A tant conter
Sur la toile
Au bout du dé
Agile la main
Dessine
Les contours du jour
Jusqu'à demainQuand on est née le jour du Maneki-Neko, on peut être tentée de se dire que la vie se joue entre fortune et bonheur...
Pour avoir croisé la patte levée de la fortune, et perdu les dés qu'elle m'avait offerts, je préfère vous déposer au creux des mains, celle qui vous promet le bonheur.
Ce petit chat de rien, Tenez ! Prenez en soin !
Je vous le confie...
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Quelle déception ! Mais quelle déception !!
Et pourtant, je vous assure, tous les ingrédients étaient là pour me le faire aimer, ce livre :
- L'enthousiasme débordant de François Busnel (« Gourou de la lecture, dis-moi ce qui manque à ma PAL ? Quelle petite perle d'inventivité m'as-tu dégotée dans cette montagne immense des nouveautés de la rentrée littéraire 2015 ? Dis-moi quel sera le nouveau compagnon de mes nuits d'insomnie ? »)
- L'éloge de Baptiste Liger dans le numéro de septembre de Lire : rythme effréné, approche ludique d'un sujet au combien théoriquement pointu, duo de choc qui fait mouche, Venise, Foucault, Mitterrand, Eco, et bien d'autres... enfin, la moitié de ça aurait suffit à mettre l'eau à la bouche de la lectrice curieuse et avide que je suis ! (« Doucement Liza, pense à tes chevilles ! »)
- La sémiologie ! Ah ! Que de souvenirs de l'époque bénie où je trainais mes Kickers bi-color rose bonbon/bleu roi et mes jeans râpés sur le perron de la Fac ! Saussure, Peirce, Jakobson... : Attendez-moi ! J'arrive pour la piqure de rappel ! (« Attention là ! J'avoue ! Rien à dire ! J'ai eu ma piqure ! Et j'ai pas moucheté !! Chapeau bas, Monsieur Binet !»)
- les 70 premières pages, où je me suis délectée de toutes les promesses de cette 7ième fonction, en frétillant à l'idée de tenir là, une « bombe » (dixit mon post du club de lecture « pioche dans ma PAL » sur Babelio, qui a permis à Myriam de me choisir ce dernier né de Binet.)
Heureuse Lectrice ! Heureux lecteur ! Toi qui a apprécié la 7ième fonction du langage de Laurent Binet ! Comme j'aurai aimé, moi aussi, brandir mes 5 étoiles, allez ! Je me serais contentée de 4 ! (parfois, il faut avoir le triomphe modeste...) ! Comme j'aurai aimé venir vous parler avec emphase et contentement de ce précieux moment de lecture !
Nenni ! Je reste là, comme une étudiante raillée par le professeur du haut de sa chaire, blême et déconfite de s'être plantée !
Car voilà ! Tout est retombé comme un soufflet ! Trop de longueurs, trop d'insistance sur les travers des VIP de l'intellect transformés en personnages fictifs (quoi que ?) et encore tellement de choses si subjectives que je ne vais pas épiloguer.
En conclusion je dirais : le dernier Binet, c'est « à la folie » ou « pas du tout » ! D'aucuns disent que c'est souvent le signe des grands... Signe, Folie, Tout, Dernier : Vous me suivez ?
¤ ¤ ¤
4ième de couv
« A Bologne, il couche avec Bianca dans un amphithéâtre du XVIIe et il échappe à un attentat à la bombe. Ici, il manque de se faire poignarder dans une bibliothèque de nuit par un philosophe du langage et il assiste à une scène de levrette plus ou moins mythologique sur une photocopieuse. Il a rencontré Giscard à l’Elysée, a croisé Foucault dans un sauna gay, a participé à une poursuite en voiture à l’issue de laquelle il a échappé à une tentative d’assassinat, a vu un homme en tuer un autre avec un parapluie empoisonné, a découvert une société secrète où on coupe les doigts des perdants, a traversé l’Atlantique pour récupérer un mystérieux document. Il a vécu en quelques mois plus d’événements extraordinaires qu’il aurait pensé en vivre durant toute sa vie. Simon sait reconnaître du romanesque quand il en rencontre. Il repense aux surnuméraires d’Umberto Eco. Il tire sur le joint. »
Le point de départ de ce roman est la mort de Roland Barthes, renversé par une camionnette de blanchisserie le 25 février 1980. L'hypothèse est qu'il s'agit d'un assassinat. Dans les milieux intellectuels et politiques de l'époque, tout le monde est suspect...
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"Ce n’est pas un hasard si Umberto Eco, le sage de Bologne, l’un des derniers sémiologues encore vivants, se réfère aussi souvent aux grandes inventions décisives dans l’histoire de l’humanité : la roue, la cuillère, le livre…, outils parfaits, selon lui, à l’efficacité indépassable. Tout laisse supposer, en effet, que la sémiologie est en réalité l’une des inventions capitales de l’histoire de l’humanité et l’un des plus puissants outils jamais forgés par l’homme, mais c’est comme le feu ou l’atome : au début, on ne sait pas toujours à quoi ça sert, ni comment s’en servir."
R.I.P. Umberto Eco !
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Chorégraphie : Zack Benitez
Danseurs : Tamara Marthe (Shy'm)
Zack BenitezMedicine
Pick it up, pick it all up
And start again
You've got a second chance
You could go home
Escape it all
It's just irrelevant
It's just medicine
It's just medicine
You could still be
What you want to
What you said you were
When I met you
You've got a warm heart
You've got a beautiful brain
But it's disintegrating
From all the medicine
From all the medicine
From all the medicine
Medicine
You could still be
What you want to be
What you said you were
When you met me
You could still be
What you want to
What you said you were
When I met you
When you met me
When I met you
(Medicine, medicine, medicine, medicine)
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