Le vent s’était levé à nouveau. La mer sombre se brisait avec de plus en plus de force contre les rochers. L’eau giclait parfois si haut qu’elle atteignait presque le véhicule. Mais Paolo ne voyait rien, même s’il avait les yeux ouverts. Ni la terre, ni le ciel.
-
Les médicaments ne sont pas sûrs de soigner, mais ils le sont d'abîmer. Il suffit pour s'en persuader de lire la liste des effets indésirables de certains d'entre eux dont quelques-uns prévoient même... la mort subite !
votre commentaire -
votre commentaire -
Il allait devoir affronter l’absence, vivre avec le vide que son père laissait partout : le rocking-chair, la table où ils jouaient aux échecs, le lit où l’avait pris la crise cardiaque qui devait l’emporter. Anil ferma les yeux, pour échapper à la vision de tous ces endroits à jamais abandonnés.
votre commentaire -
Enfant, je rêvais d’habiter les arbres. Aujourd’hui par la force de l’imaginaire, j’habite une cité archiborescente et je reviens de moins en moins souvent par ici. Vous pouvez me croiser dans la rue, mais ne vous y trompez pas, ce n’est qu’une apparence, Je suis ailleurs. Cette exposition est une invitation à voyager ensemble dans mon imaginaire.
votre commentaire