• Traité politique - Baruch Spinoza -

    Traité politique - Baruch Spinoza -

    Ne pas rire, ne pas se lamenter, ni haïr, mais comprendre.

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  • Commentaires

    1
    Ellane
    Mercredi 21 Septembre 2016 à 14:39

    On peut rire, se lamenter et haïr (tout ça à la fois !), et tenter de comprendre quand même...

      • Mercredi 21 Septembre 2016 à 15:04

        Oui ! Je crois même qu'actuellement, en matière de politique, on passe par tous ces stades, avant de comprendre... ou d'essayer ! wink2

    2
    Ellane
    Mercredi 21 Septembre 2016 à 16:52

    Cette année, le travail m'a payé une formation intitulée "Déjouer les mensonges et tentatives de manipulation" (une manière comme une autre de faire passer des messages à ma hiérarchie :-)). Si j'ai tout bien compris, un manipulateur est efficace parce qu'il s'adresse systématiquement et efficacement à nos émotions, ce qui fait que l'on reste bloqué dans le système de ces émotions et que nous perdons nos moyens de réaction habituels.

    Un moyen efficace de couper court à une tentative de manipulation est de rire. Car le rire permet de mettre de la distance par rapport à ce qu'on vient de nous dire, et l'on sort de la sphère émotionnelle pour revenir à un niveau plus intellectuel.

    Comme quoi... :-)

      • Jeudi 22 Septembre 2016 à 07:12

        Très intéressant ! Oui, le rire remet souvent "les choses à leur place"... Sortir des émotions, des passions pour pouvoir penser.

        Quelle formation intéressante ce devait être ! Je vois que le boulot, c'est toujours pas cela de ce côté-là... J'avais suivi il y a quelques années, une formation sur "comment gérer les conflits", cela m'a été très profitable, par cette prise de distance, cette manière de dénouer les choses pour "éteindre la poudrière".

        Bon Spinoza n'a pas mesuré l'impact et l'importance du rire. Bergson arrivera plus tard... ;-) Et nous devrions oser rire plus souvent à l'écoute de certains discours politique. Ce serait bon pour l'intérêt général.

    3
    Ellane
    Vendredi 23 Septembre 2016 à 17:08

    C'était effectivement une formation passionnante, mêlant éléments de théorie et jeux de rôle. C'était aussi très éprouvant : à l'occasion d'un jeu de rôle, je me suis retrouvée dans la peau de mon directeur, et j'ai vu l'effet que cela faisait sur la personne sur qui je me suis "acharnée", personne pourtant dans le registre manager sure d'elle et rentre-dedans. Je n'ai vraiment pas envie de recommencer...Ce genre de formation est utile je trouve, aussi bien d'un point de vue professionnel que personnel. Cela permet de mieux s'assurer, de prendre plus de distance, ce qui est souvent salutaire !

    Sinon, côté boulot, c'est toujours la même chose, sauf que je le vis bien/mieux : je m'amuse parfois, je m'éclipse souvent, je travaille beaucoup, et j'accorde peu d'attention au reste !

    Pour en revenir à Spinoza, Bergson, et au rire et à la politique, je me dis qu'aujourd'hui, nous manquons d'émissions satyriques (des vraies, pas des politiquement correctes), d'humoristes corrosifs, etc... Coluche nous manque quoi. Et c'est pour ça également que les "Charlie" sont pris pour cible : parce qu'ils sont salutaires et dénotent une envie de ne pas toujours être un mouton ! [c'était la pensée pseudo-philosophique du jour :)]

      • Vendredi 23 Septembre 2016 à 17:28

        La formation dont je t'ai parlée était aussi sous forme de jeux de rôle. Je devais faire "la méchante" et suis passée en première (donc sans recul, ni expérience des autres), je ne l'ai pas bien vécue car le "Monsieur" avec qui j'étais en est resté muet. Il était régulièrement harcelé au travail et j'ai dû être trop "réaliste". Je me suis trouvée "bête" et "agressive"... Son silence m'a renvoyé à ce que "je jouais" et je me suis dit : "quel esprit pervers il faut avoir pour harceler ainsi les gens et se satisfaire de ce malaise et cette douleur qu'on génère chez les autres..." Je n'y ai ressenti que culpabilité et souffrance. Je lisais la semaine dernière que d'après "une étude" (cela veut tout dire et rien, je sais) 1 chef d'entreprise sur 5 est un psychopathe. C'est pas rassurant ! ;-(

        Oui, des gens comme Coluche manquent énormément. Est-ce qu'il y a encore un espace d'expression pour des gens comme lui aujourd'hui ? J'entends, un temps d'antenne, un espace "grand public"... J'ose espérer que oui ! Mais alors, c'est à se demander pourquoi ils ne sont pas autant présents ? Est-ce que tout s'achète dans ce monde d'aujourd'hui ? Pouvons-nous encore rire de tout ? Même si ce n'est pas avec tout le monde ?

        J'aime ta pensée philo du jour... ;-))

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    Ellane
    Lundi 26 Septembre 2016 à 11:20

    Ca, c'est parce que tu es capable d'empathie ! Moi aussi, j'ai trouvé mon attitude, mes mots "à vomir" pendant la simulation. L'objectif de celui qui se comporte ainsi n'est pas (forcément) l'anéantissement de la volonté de l'autre pour le faire souffrir (en dehors des cas de psychopathes avérés), mais le fait de chercher à obtenir quelque chose pour soi. C'est parfois aussi une sorte de "réflexe de survie" pour lui...

    C'était quoi, dans l'étude que tu as vu, un "psychopathe" ? Dans tous les cas, je me dis que certains métiers conviennent bien aux manipulateurs. Typiquement, les acteurs et actrices sont payés pour nous faire croire à leur personnage ou à leur histoire, ils passent leur temps à manipuler les téléspectateurs :-)

    Je ne crois pas qu'il y ait de place aujourd'hui pour les "agitateurs". Les comiques font dans le très politiquement correct, les informations font de broutilles "la une" de leurs journaux pour mieux éviter de parler du reste, etc... Un comble dans une société qui montre tout !

      • Mardi 27 Septembre 2016 à 07:01

        Je t'ai trouvé un lien sur l'étude psycho : Ici. Je l'ai lu chez Books, mais c'est en accès "abonnés"...

        Je pense que nos sociétés montrent tout, pour mieux cacher l'essentiel. Malheureusement on nous donne à voir ce qui "arrange" ou ce qui "convient". Tout n'est pas comme ça, mais cela se généralise. Je pense aussi qu'il n'y a plus beaucoup place pour la "spontanéité" : "on" veut toujours tout contrôler. les directs sont en légers différés pour pouvoir intervenir "au cas où...". Exit l'appel d'un abbé Pierre, le coup de gueule d'un Balavoine devant un président ou la genèse d'un resto du cœur ! Enfin, on pourrait en dire beaucoup. Il n'est pas toujours simple de s'informer actuellement. Faut-il multiplier les sources pour avoir une vue d'ensemble ? ou se désintéresser de l'information "officielle" pour aller voir "ailleurs". Mais sommes-nous bien sûr de ne pas être manipulé non plus ? Je n'en suis pas si sûre... Peut-être lire, aller voir les sources directes et se faire sa propre idée ?

        Imagine s'il y avait une volonté de nous tirer "vers le haut", les belles choses que cela donnerait ? Je crois que c'est Onfray qui disait que les émissions télévisuelles, ne sont que des supports pour nous vendre et placer des produits. La "vraie" finalité, ce sont les publicités et atteindre notre porte-monnaie... "Pas si con !" Comme faisait dire Serge à Jane ! smile

    5
    Ellane
    Mardi 27 Septembre 2016 à 09:48

    Intéressant article, je l'ai envoyé à des personnes de mon entourage professionnel, elles devraient reconnaitre quelqu'un ou quelqu'une :-)

    Entièrement d'accord avec ton analyse. Et je n'ai aucune idée de comment l'on peut faire pour s'informer pour de vrai... C. Pineira, dans Betibou (j'ai beaucoup aimé, avec quelques réflexions intéressantes sur l'écriture et le rôle du journalisme :-)), faisait dire à l'un de ses personnages : "Quand des choix informatifs négligent certaines nouvelles, on peut parler de censure. Ne laissez personne choisir à votre place. J'ai bien dit personne. Lisez beaucoup de quotidiens, regardez beaucoup de journaux télévisés, tous, même ceux avec lesquels vous n'êtes pas d'accord et, seulement après, faites votre propre choix. Hiérarchiser les nouvelles en fonction de nos propres critères et non par les choix que l'on nous impose, c'est faire de la contre-information. Et la contre-information, ce n'est pas un gros mot, bien au contraire. Cela veut dire informer depuis un autre espace, depuis un espace détaché du pouvoir."

    Je crois que personne, parmi ceux qui décident, n'ont envie de tirer qui que ce soit vers le haut. Nous sommes une société uniformisée, on forme nos élites à la chaine, les cadets avalant la "vérité" sur les bancs usés par les pantalons de nos "actuels". Comme le dit Alain Denault, "Les médiocres ont pris le pouvoir", et "on" ne veut absolument pas que ça change !

      • Mardi 27 Septembre 2016 à 17:38

        Ta citation est d'une justesse ! Je vais aller voir un peu ce livre, il m'intéresse.

        Et merci de me faire connaître Alain Denault. Quel article ! Cela met en avant beaucoup d'idées que je partage. Il faudrait arriver à pouvoir nommer, à définir ce "on". Le problème est qu'il est sûrement pluriel. Le fond commun : l'argent et le pouvoir. Ne rêvons pas, l'intérêt général n'a plus sa place nulle part... Regarde le milieu associatif, la manière dont il évolue et le rejet de beaucoup de bénévoles face à un détournement de l'intérêt commun vers un ou des intérêts individuels !  Alors une révolution ? Sommes-nous prêts à perdre (le peu de) ce que nous avons pour aller au charbon ? Quelles seront les limites atteintes qui nous y pousseront ? Ou resterons-nous là, anesthésiés, à regarder "les choses" se faire ?

        Ou une autre forme de consommation et d'actions (je pense à l'économie participative, au crowdfunding...), mais cela reste très "communautariste" enfin de compte (je ne sais si c'est possible autrement, mais c'est un repli sur soi qui ne me convient pas).

    6
    Ellane
    Mercredi 28 Septembre 2016 à 16:45

    Bétibou est classé dans les "romans policiers" argentins. Il est très peu policier, mais permet de découvrir une face cachée de l'Argentine, celle des très riches qui vivent entre eux dans des "Country Club". Un suicide a eu lieu. Mais est-ce vraiment un suicide ? Deux générations de journalistes tentent de démêler l'affaire, aidés par un écrivain infiltrée en mal de confiance en elle. Ce n'est pas un thriller, un page-turner (c'est plutôt long/lent), mais je l'ai trouvé très savoureux, et souvent drôle.

    J'ai voulu l'autre jour m'acheter le livre de Denault, mais il n'y en avait plus et il était en attente de réédition... ça doit bien faire 6 mois, il faudrait que je réessaie :-)

    Le "on", je crois, c'est beaucoup de monde, mais c'est surtout un peu tout le monde. Dans le fond commun, j'ajouterais également "la satisfaction immédiate". Il me semble qu'il y a une généralisation d'une espèce d'attitude égocentrée et courtermiste (pardon pour les néologismes !) visant à satisfaire de pseudo-désirs immédiats sans regard pour les conséquences. A tous les niveaux. En entreprise, par exemple, ça consiste par exemple à améliorer son bilan via une réduction des couts. Pourquoi pas... mais quand parle-t-on de création de valeurs ? Dans la vie de tous les jours, c'est bousculer les gens à la porte du métro pour s'asseoir sur les strapontins et jouer à Candy Crush. En politique... je crois qu'il n'y a pas besoin de donner d'exemples...

    Je ne suis pas non plus convaincue par la vertu toute puissante du communitarisme, qui me parait très clivant, et puis, qui me donne l'impression (mais ça n'engage que moi) de quitter un système de valeurs/pensées/fonctionnements/comportements pour un autre.

    J'aurais tendance à croire que c'est par la responsabilisation et la prise de conscience de ce qu'il est de chacun que peut se trouver le "salut". Mais bon...

    Des fois, je me dis que c'est compliqué, fatiguant, usant, de vouloir un chouïa autre chose que d'entrer dans la masse et d'y rester. Finalement, poser ses fesses sur un canapé pour avaler des raviolis (Buittoni !) en regardant le 19-20, puis s'endormir devant une série débile ou une téléréalité quelconque, sans se poser de question, ça doit être confortable.

    Je pense souvent au livre "Indignez-vous !" de Hessel. Je ne l'ai pas lu, mais le titre me parle, et des fois, quand je me sens découragée, je me dis que, tant qu'on continue à s'indigner, à réagir, à rouspéter, à ressentir, à rire, etc... on est encore vivant, et il reste un peu d'espoir.

      • Jeudi 29 Septembre 2016 à 07:40

        Je suis d'accord avec tes arguments (je pense que nous avons une vision bien proche des choses).

        "Le salut" est sûrement en chacun de ceux qui veulent changer les choses, et à petite échelle, de grandes choses peuvent naître et devenir (ça, c'est mon côté "Oui-Oui croît en l'humanité", que je tacle régulièrement avec une bonne dose de lucide pessimisme...). J'aime cette fable du Colibri et je pense que nous pouvons tous en être un. Par contre, nous nous heurtons comme tu le dis si bien (non ! pas les raviolis et secret story ! frown) à ce fait que nous ne sommes pas prêts (et je parle de moi aussi également, ne soyons pas hypocrite) à sacrifier notre pouvoir d'achat ou notre confort. Faire des efforts dans une moindre mesure, oui, mais vraiment "faire une révolution" dans notre vie ou plus si affinités, et rejeter tout ce dans quoi nous évoluons ? Difficile... Alors, petit à petit, j'essaie de me délester de ce qui peut l'être dans ma vie, ma façon de vivre et je me dis que c'est déjà un pas. Alors bonne conscience d'hypocrite ou battement d'aile de colibri ? J'aime à pencher pour le second, mais mon Jiminy Criquet me rappelle souvent à l'ordre et c'est sûrement grâce à lui que je ne perds pas de vue la croyance dans le fait que "cela peut être possible"...

        J'ai lu le texte de Hessel "Indignez-vous !". Je m'attendais à autre chose. Lis-le, il n'est que de quelques pages, et tu n'en feras qu'une bouchée. J'ai aimé ce ton et ce coup de fouet (vite retombé) que ce livre à donner, mais je pense que les gens, la jeunesse s'indignent, pour ceux qui ne s'étourdissent pas pour ne pas penser et que cette indignation n'est pas prise "au sérieux" ou est "dénigré" ou "réprimé"...

        "Sois sage, ô ma Douleur, et tiens-toi plus tranquille."

        N'est-ce pas un peu en substance ce que la société (dont nous faisons tous partie) leur dit ? c'est plus "ferme là et fous-nous la paix" je sais, mais c'est nettement moins joli que ce que dit Baudelaire... :-)

    7
    Ellane
    Jeudi 29 Septembre 2016 à 16:32

    J'aime pas Oui oui et sa petite auto :-) J'ai longtemps souffert du "complexe de Zorro" ((c) Ellane), mais je ne cherche plus à sauver le monde (vive la maturité !), pas même à le changer. Parce que au final, la seule "chose" sur laquelle je peux agir, c'est moi. J'essaie aussi de bannir de mon vocabulaire les déclinaisons du conditionnel, surtout associées aux verbes comme pouvoir, vouloir, falloir (il faudrait, je voudrais, cela pourrait...). Pas facile tous les jours, mais je tente de rester sur le "voilà ce que je peux faire"... Ca ne change pas le monde, mais ça simplifie la vie :-)

    Je ne connaissais pas la fable du colibri. Google étant mon ami, je suis tombée sur l'histoire du petit oiseau qui jetait quelques gouttes d'eau contre un grand incendie...

    Je ne crois pas que la perfection soit de ce monde, et nul(le) n'a à être parfaite (j'assume mon lapsus :-)). Faire des efforts, c'est déjà bien, et c'est toujours mieux que ne rien faire. Faire ce que l'on est capable de faire, c'est déjà bien aussi. Si chacun le faisait, hein, le monde serait plus sympathique. Je crois personnellement beaucoup à la vertu de l'exemple. Je sais par exemple que, dans le métro, quand je cède ma place à une personne âgée, la femme enceinte qui montera plus tard dans le wagon augmente de beaucoup ses chances de voir quelqu'un lui proposer un siège. Et puis, après tout, n'est-ce pas une grosse part de l'éducation que nous donnons, implicitement, à nos enfants ? Ils nous observent,  ils apprennent notre façon de faire, ils nous imitent... Dans ce domaine aussi, ce n'est jamais suffisant, et je suis persuadée que mes chères petites têtes brunes me jetteront à la figure dans quelques années tous mes manquements à leur égard. Et quelques années plus tard, sans doute comprendront-elles (mieux vaut l'espérer !!) que chacun fait ce qu'il peut, au mieux de ses possibilités, en fonction d'une situation, d'un contexte...  Le monde n'est pas simple, pas plus que la vie, et chacun a ses raisons d'être ce qu'il est.

    Je ne sais pas si tu fais dans l'hypocrisie ou l'ornithologie, toi seule peut répondre à la question (même si j'ai une opinion sur le sujet :-)). Une question que je me pose est autour du choix du "ou", de l'alternative unique... Tu connais l'histoire du chat de Schrödinger ? Je m'y réfère souvent, pour tenter de trouver un peu de cohérence et de bienveillance.

    Je rajoute "Indignez-vous" à ma PAL qui ne déborde absolument pas, malgré mon petit tour à la FNAC entre midi et deux (j'accompagnais une copine, et je ressors avec un Trouillot, un Mingarelli et un Rosh... il y a de ces mystères dans ce genre de magasin !!).

    "Ferme-là et fous-nous la paix", oui, on est là-dedans, tous, et ça n'a rien de poétique (mes excuses à Baudelaire). Mais parfois, aussi, on peut essayer, de regarder, d'écouter, de gouter, de ressentir...

      • Vendredi 30 Septembre 2016 à 13:48

        La vertu de l'exemple, c'est essentiel. Et contrairement à ce qu'on peut croire ou ce dont on peut douter parfois, il en reste toujours quelque chose... Tiens pas plus tard que là, ma fille m'a vu partir avec mon mp4 et m'a lancée quand je refermais la porte "tu mets qu'une oreillette, hein ? et puis fais attention à toi !"... C'est "fun" ! Comme quoi tu vois, on pense qu'on prêche dans le désert, mais nenni ! il en reste toujours un chouïa ! yes
        Et c'est de même pour la politesse, la civilité, l'attention aux autres et toute attitude positive qui ne coûte que peu et apporte tant...

        Que ta PAL ne déborde pas, je ne sais si je dois accroire cette affirmation, mais je ne poserai aucun jugement hâtif ! ;-) Je ne connais que Trouillot dans les passagers clandestins de ta PAL ! Kannjawou est dans la mienne.

        " Mais parfois, aussi, on peut essayer, de regarder, d'écouter, de gouter, de ressentir..." oui ! Et je pense que c'est nécessaire...

    8
    Ellane
    Mercredi 5 Octobre 2016 à 16:07

    Mouais... ça fait 7 ans que j'explique qu'on traverse seulement quand "le bonhomme" est vert, que la douche, c'est tous les jours, qu'il faut manger des fruits et des légumes pour "laver le ventre", que l'on (ne) jette (que) dans la poubelle, etc, etc... pour le moment, ce n'est pas gagné !!

    Quant à ma PAL... je ne parlerai qu'en présence de mon avocat !!!

      • Mercredi 5 Octobre 2016 à 16:12

        7 ans ! Bah oui, là, tu es une petite joueuse... Moi je te parle de 20 ans ! winktongue

        Du coup, c'est assez déprimant ma réponse. Allez ! Gageons que tes filles seront plus réactives que mes 2 loustics ! biggrin

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