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So Long, Luise - Céline Minard -
La puissance est du côté de l'écrivain, la potentialité du côté de l'éditeur, le pouvoir dans les chiffres.
(...)
De cette façon, l'écrivain a les coudées franches, il n'est pas assujetti à une collection, un genre, une maison, une famille, toutes ces enclaves rédhibitoires. L'éditeur est replacé dans sa fonction commerciale, il marchande le texte mais pas l'auteur. Et ainsi peut aller la vie des mots, nous sommes tous des passeurs, y compris le lecteur, la littérature est ailleurs, elle est toujours ailleurs.Page39 se poursuit dorénavant sur Wordpress...
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