Quand elle dansait, elle ne se souciait pas de savoir s’il allait pleuvoir, si elle risquait de tomber et de se blesser, ça ne l’intéressait pas de savoir si le malheur était déjà en route, si la mort la guettait. Elle était libre, délivrée. Elle était elle-même, sans angoisses ni obsessions. Dans la danse, elle était seule à régner dans un univers d’espaces libres et de possibilités.
La huitième vie (Pour Brilka) – Nina Haratischwili –