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Nos âmes la nuit - Kent Haruf -
Tu te préoccupes trop de ce que pensent les gens.
Il faut bien que quelqu’un le fasse.
Moi j’ai arrêté. J’ai au moins appris ça.
Avec elle ?
Oui. Avec elle.
Je ne la voyais pas comme une progressiste ou une femme légère.
Il ne s’agit pas de légèreté. C’est une réflexion d’ignorante.
Il s’agit de quoi, alors ?
Une sorte de décision d’être libre. Même à nos âges.
Tags : Nos âmes la nuit, Kent Haruf, Littérature américaine, amour et âge
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