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Lettres à Louise Colet - Gustave Flaubert -
Je mène une vie âpre, déserte de toute joie extérieure et où je n'ai rien pour me soutenir qu'une espèce de rage permanente, qui pleure quelquefois d'impuissance, mais qui est continuelle. J'aime mon travail d'un amour frénétique et perverti, comme un ascète le cilice qui lui gratte le ventre.
Tags : Lettres à Louise Colet ; Gustave Flaubert
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