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Interview Mia Yun - Lire juin 2017 -
La littérature est tenue en très haute estime depuis bien longtemps en Corée du Sud, et les gens - même ceux qui ne sont pas férus de culture - sont souvent intéressés par les arts en général, aussi bien en tant que "consommateurs" que "créateurs".
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Il y a deux écoles très opposées qui se livrent un véritable combat : d'une part, une littérature disons "puriste", intéressée par la seule forme, et, de l'autre côté, une littérature très politique, une littérature de résistance. Cette opposition a d'ailleurs été particulièrement marquée pendant toutes les années où les mouvements en faveur de la démocratie s'opposaient à la dictature - la littérature était alors utilisée comme une arme politique, un moyen d'influencer et de faire connaître des idées.
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