Je vivrais dans ta tête, je ne t’abandonne pas. Je serai dans l’air tout autour de toi. Je serai la terre sous chacun de tes pas. La seule chose que je sache, Victor, quand le chagrin est trop fort, il faut vivre une minute à la fois. Puis une heure à la fois. Une nuit, puis un jour. Un seul jour à la fois. Un seul jour à la fois, Victor. Tu ne m’oublieras pas, mais un jour ton chagrin s’apaisera.