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Un Monde Sans Fin - Ken Follett -
Ce qui a assuré ta subsistance depuis l'enfance et payé tes études, c'est le travail de notre père ! Depuis, tu vis grâce aux loyers et aux dîmes que tu prélèves, grâce au péage de ce pont et à la taxe sur les étals, grâce à une demi-douzaine d'autres impôts que te versent les habitants de cette ville et les paysans alentour. Ta vie entière, tu as vécu sur le dos des gens, en suçant leur sang, comme les puces ! Et maintenant tu as le culot de me dire : "Dieu y pourvoira" !
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