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Toutes les vagues de l'océan - Victor Del Arbol -
"L’opérateur referma la trappe et remit une pierre ovale à Gonzalo. C’était une matière indestructible sur laquelle était gravé un numéro d’identification, pour éviter d’éventuelles confusions. Quand on lui remettrait les cendres, ce numéro garantirait qu’elles appartenaient à Laura. Dans dix mille ans, quand il n’y aura plus ni cendres ni restes, les hommes de l’avenir se demanderont où sont passés les ossements de leurs ancêtres. Et dans les fouilles ils trouveront des milliers, des millions de pierres comme celle-ci."
Tags : Toutes les vagues de l'océan, Victor Del Arbol, Littérature espagnole, Goulag
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