• Et si, contre toutes probabilités, j’arrivais à la trouver ? Comment pouvais-je rater cette occasion de découvrir d’où je venais et peut-être même de retrouver ma mère ?

    J’ai décidé que reprendre mes recherches, sans toutefois le crier sur les toits, m’aiderait à regagner un regard positif sur la vie. Peut-être le passé pourrait-il contribuer à façonner le futur ?

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  • Lion 1 - Saroo Brierley -Le destin m’avait tiré d’une misère noire pour m’offrir une existence confortable et privilégiée : peut-être devais-je me résoudre à laisser le passé où il était et tourner la page…

    Je réalise aujourd’hui que j’étais sans doute aussi un peu effrayé et trop attaché à protéger mes souvenirs : il y avait si longtemps qu’ils m’accompagnaient, et je m’y étais tant accroché que je tenais à tout prix à les préserver, eux et le soupçon d’espoir qu’ils renfermaient.

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  • Quand sort la recluse - Fred Vargas -- Tu as connu Balzac ?
    - Non, Louis. L'occasion ne s'est pas présentée.
    - Eh bien tu regardes Voisenet, tu vois Balzac. Il n'a pas ses sourcils froncés, il n'est pas encore aussi gros, mais ajoute une moustache noire et tu vois Balzac.
    - Alors Balzac n'est pas mort, tout compte fait.
    - Tout compte fait non.
    -  C'est réconfortant.

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  • Attention ! Chronique d’une lectrice conquise qui ne va pas tarir d’éloges sur sa dernière découverte en date : Les larmes de Pancrace de Mallock ! Allez, je vous aurai prévenu. C’est parti :

    Pour commencer la couverture est belle. Oui, je sais. C’est pas le plus important, mais reconnaissez tout de même qu’il est toujours plaisant d’avoir un beau bouquin à la main.

    Passons au contenu : l’intrigue ! Car, oui, il y en a une. C’est un roman policier, que diable ! Au départ, je n’étais pas plus emballée que cela par le vignoble bordelais (ne me jetez pas la pierre, SVP, mais quand vous êtes entourée de personnes qui bossent dans La Vigne, de quoi vous finissez toujours par parler ? Hein ? Bon. Vous m’aurez comprise…) donc, je disais, première réaction : Bof, Bof ! Encore le pinard, les viti, la terre (shame on me ! Yes, I know… ), mais comme je me suis engagée à le lire dans le cadre du Prix CL 2017, je me suis jetée à l’eau ! (sic) Et là, incroyable : je me suis surprise à rêver d’arpenter les rangs, à sentir cette terre épaisse mais malgré tout légère sous mes pieds, ce soleil et cette chaleur écrasante, sans parler de la folle envie de déguster un Corneille-de Renom. Et quand Mallock nous propulse en l’an 1323 sur les premiers pas du créateur de ce vignoble, dans ce savant effet feed-back du Passé au Présent que j’aime tant dans les romans, je n’ai pu le lâcher…

    Pour le reste, je ne vous ferais pas de résumé. Faudra vous y coller ! Mais sachez que les personnages sont écrits avec une telle justesse, qu’ils évoluent au cours du récit sans aucune fausse note. Sans oublier cette curiosité : Se doter d’un héros homonyme, un flic un peu bourru, bon vivant et détonant, mais tellement attachant.

    Les larmes de Pancrace - Mallock -

    Et que dire de son style ? Une petite merveille ! Je ne veux pas sous-entendre que les romans policiers sont habituellement mal écrits ou qu’on s’attend forcément à un style « bateau ». Non. Loin de moi cette pensée de cloporte. Mais en règle générale, quand je lis un roman noir ou un thriller, je suis plutôt en mode TGV, happée par la curiosité de toujours vouloir en savoir plus. Là, je me suis surprise à prendre le temps de lire, m’arrêter sur un passage, en relire un autre et savourer tous les mots sans l’impatience des maux à venir…

    Et tout cela avec humour, ce qui, vous me l'accorderez, ne gâche rien...

    Il y a toujours un certain plaisir à mettre un menteur face à son mensonge. Et quand il s’agit de quelqu’un qui vous prend pour un larbin doublé d’un con, la chose devient carrément jouissive.

    Chapeau Mallock(s) ! Créateur et Créature, je vous adopte et vous garde une place de choix dans mon cœur de lectrice et sur les rayonnages de ma bibliothèque...

     ¤ ¤ ¤

    Les larmes de Pancrace - Mallock -

    4ième de couv :

    Jean de Renom, un jeune châtelain, rentre chez lui un soir, heureux de retrouver sa femme Camille et leur bébé après plusieurs jours d’absence. Mais il est sauvagement assassiné à son arrivée et est retrouvé criblé de balles au bas de son escalier. Sa femme ne sait absolument pas ce qui s’est passé, mais l’enquête arrive à la conclusion que c’est elle qui a tué son mari. Sans aucune raison. L’affaire fait d’autant plus de bruit que la mère de Camille est une femme politique puissante destinée à devenir candidate pour la présidence de la République. Appelé à la rescousse par un ami, le commissaire Amédée Mallock va s’intéresser à un tout autre assassinat ayant eu lieu dans la même famille trente années plus tôt. Un meurtre étrange en chambre close. Celui du père de Camille agressé en même temps que son épouse Sophie retrouvée inconsciente.

    Et si ces deux crimes étaient liés ? Et si le Chevalier d'Assas, enfermé depuis lors et accusé du crime, était innocent ? Et si tout cela remontait à une malédiction proférée contre cette famille par un templier assassiné il y a sept siècles ?

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  • La vie, ce n'est pas d'attendre que l'orage passe, c'est d'apprendre à danser sous la pluie.

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