-
Manifeste incertain, tome 8 - Frédéric Pajak -
Il faudrait les pendre par les pieds, ces gestionnaires aveugles. Je pense à toi, mon ami, qui, blessé par de continuels petits reproches, finit par succomber à un cancer. Je ne t'oublie pas. Et je n'oublie pas tes assassins.
Et ces mots de Cesare Pavese :
Ce corps ne revivra jamais plus. Quand on touche ses yeux,
on sent qu'une poignée de terre est plus vivante car la terre,
même à l'aube, se tait, simplement repliée sur elle-même.
Un cadavre, au contraire, c'est le reste de trop nombreux éveils.
Tags : Manifeste incertain, tome 8 ; Frédéric Pajak
-
Commentaires