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Interview Agnès Ledig - Lire, mai 2020 -
Tout est dérisoire en ce moment. Sauf de sauver des vies humaines, celles des patients en réanimation, des personnes âgées en EHPAD, des femmes et des enfants confinés avec leur bourreau, ou des cœurs qui lâchent sans qu'on puisse les rattraper.
L'envie d'écrire reviendra, quand la vague sera partie, comme l'eau se retire sur la plage en dessinant des arbres dans le sable. L'écriture reviendra, car nous aurons besoin d'un nouveau récit pour offrir à nos âmes confinées l'espoir d'un monde meilleur Je continuerai, comme dans mes précédents romans, à parler de la bonté des hommes, de la nature, de la simplicité et du respect que nous devons retrouver pour offrir à nos enfants non pas un avenir meilleur, mais un avenir tout court.
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