• Neverhome - Laird Hunt -

    Photo issue de Le fil des jours - Guerre de sécession -

    Je vis les fers et le sang coagulé su le métal et un frisson me parcourut l'échine, depuis le bas du dos, pour ressortir par la tête en me perçant le crâne. Il n'existait pas de personne vivante qui n'eût vu quelqu'un porter un fer en quelque point de son corps, je le savais, mais ces lieux désertés abritaient une morsure de chagrin qui me fit me réjouir qu'un autre endroit eût été trouvé et que nous n'ayons pas à retourner là-bas.

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  •  C'est une illusion de penser que le miroir aide le danseur. On ne devrait pas regarder le monde par l'intermédiaire d'un reflet. Il faut prendre conscience de sa place dans l'espace. Quelle est la bonne distance entre les différents membres de ton corps ? Comment dois-tu te positionner, quelle distance dois-tu mettre avec les autres ou les objets qui t'entourent ?  C'est là que tu atteins le geste juste et que naît la beauté du mouvement.

     

    Le refus du miroir - Ohad Naharin -

    Danz, d’Ohad Naharin. Crédit photo: Jesus Vallinas

     

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  • Le politique, il sert plus à rien. C'est un prestataire de services. La preuve c'est que ces putains de dettes, ces putains de dettes-là, qui emmerdent tout le monde, qui mettent les peuples à plat, qui les mettent à genoux, on n'arrive pas à les éliminer...

    Moi, républicain payant mes impôts, je voudrais que toutes les dettes de ces pays soient annulées. Et je peux vous dire que là, le problème du chômage, le problème des constructions, le problème de l'avenir pour nos enfants, il aurait une grande chance d'éclater et de revenir, vraiment de revenir vers la vie.

    Donc comme vous les politiques, vous arrivez pas à les faire éliminer, ces putains de dettes, parce que  la banque elle est plus forte que vous, c'est elle qui vous imprime la destinée de notre peuple et non pas vous ! Voilà !

    Richard Bohringer face à Henri Guaino, 30/03/13 - On n'est pas couché  - :  

    Cette vidéo est restée longtemps difficilement accessible en France. Merci à nos amis belges et canadiens qui ont fait le relais tout ce temps, nous envoyant de là-bas, ces images de chez nous qui dérangent...

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  • Devant moi il n'y avait presque personne. (...)
    Mais derrière, Charles, derrière... Cinquante, soixante personnes... Peut-être plus encore... Beaucoup de femmes, plein de gamins, des tout-petits, des ados, de grands dadais qui ne savaient pas quoi faire de leurs grands bras, des vieilles, des vieux, des costumes du dimanche, des bouquets de fleurs, des bijoux superbes et de la pacotille sur des blousons siglés, des clopins-clopants, des tout couturés, des... Tous les genres, tous les âges, et tous les étages... Tous ceux qu'elle avait dû soulager un jour, j'imagine...
    Quelle clique... Et pourtant pas un bruit, pas un braillement, un silence incroyable, mais quand les fossoyeurs ont reculé, ils se sont tous mis à applaudir. Longtemps, longtemps...
    C'était la première fois que j'entendais des applaudissements dans un cimetière et là, je me suis enfin autorisée à pleurer : elle l'avait eu son hommage... et je ne vois pas ce qu'un prêtre ou n'importe quel autre blabla de circonstance aurait pu dire de plus juste à son sujet...

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  • Essais, 1597 - Francis Bacon -

    Certains livres sont faits pour être goûtés, d'autres pour être avalés et un petit nombre sont faits pour être mâchés et digérés.

     

     

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